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Recherche par auteur : Kern, Étienne

104 résultats. Page 4 sur 6.

Lu par : Louis Belon
Durée : 8h. 16min.
Genre littéraire : Sciences/technologie
Numéro du livre : 29480
Résumé:Le volume réunit les chroniques de l'auteur diffusées sur France culture. Physicien de formation, Etienne Klein aborde des sujets tels que le vide, l'inversion des courbes, les leçons du petit boson sur un ton décalé et humoristique.
Lu par : Etienne Maignen
Durée : 7h. 43min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 24602
Résumé:Un homme de 57 ans découvre sa propre histoire au travers de celle de la bécane d'Hortense, sa mère.
Lu par : Etienne Maignen
Durée : 9h. 23min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 23391
Résumé:En mai 1960, au poste PK17 dans la campagne algérienne, les nouveaux arrivés découvrent la réalité du conflit.
Lu par : Etienne Maignen
Durée : 7h. 49min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 23128
Résumé:Deux hommes enquêtent sur un tableau du lot restitué à la France par l'Allemagne en 1994, cinquante ans après leur vol.
Lu par : Etienne Maignen
Durée : 8h. 25min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 23104
Résumé:Deux hommes enquêtent sur un tableau du lot restitué à la France par l'Allemagne en 1994, cinquante ans après leur vol.
Lu par : Nicole Roche
Durée : 7h. 37min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 25527
Résumé:Dans la lignée de l'Histoire des haines d'écrivains, avec la même verve et une pluie d'anecdotes, ce livre raconte comment les parents d'écrivains du XIXe et du XXe siècle ont réagi à la vocation de leurs rejetons. Pour beaucoup, qui rêvaient d'un métier sérieux ou d'un avenir solide, c'est la disgrâce absolue : jules Renard n'est qu'un " chieur d'encre " aux veux de sa mère ; le père de Nerval finit par rompre avec lui. Quant à la mère de Marguerite Duras, elle se désespère : " Tu es faite pour le commerce ! " Car, insiste Mine Gide, il faut bien trouver de quoi " mettre la poule au pot ". D'autres encore sont scandalisés, ou s'agacent d'une imagination jugée débordante. " Poulou n'a rien compris à son enfance ", s'écrie la mère cle Sarine après avoir lu Les Mots. Certes, tous les parents n'ont pas été hostiles : Honoré a souffert sa vie durant de ses rapports avec la terrible Mme Balzac, qui exécrait ses premiers romans, mais il a eu le réconfort d'être le fils de son père ; un Théophile Gautier, une Marguerite Yourcenar ont été encouragés dès l'affirmation de lem- vocation. Ce soutien frôle parfois la cocasserie pure : quand, emporté par l'inspiration, Lamartine célébra dans un poème le lierre majestueux, mais imaginaire, qui recouvrait la maison familiale, sa mère s'empressa d'en planter un, afin que nul ne pût prendre Alphonse en défaut... Peur de la déchéance sociale, fierté face au succès, rejet d'un milieu qu'on connaît mal, incrédulité, dévotion ou indifférence : souvent savoureuses, ces réactions à l'irruption de la littérature dans une vie nous font plonger dans l'intimité de ces familles à la lois si lointaines et si proches.
Lu par : Suzanne Bettens
Durée : 7h. 34min.
Genre littéraire : Voyage/exploration
Numéro du livre : 20378
Résumé:Et s'il fallait s'oublier pour se retrouver ? Partir sans rien attendre ni rien vouloir, avec détachement et simplicité, un pas devant l'autre... et voilà que les secrets de la nature humaine sans qu'on le veuille, se révèlent, ravivant nos pensées, régénérant notre âme... Etienne Diserens est parti faire la traversée nord-sud de la Suisse dans l'idée aussi de faire de ce périple le vôtre. Une lecture saisissante d'une Suisse généralement trop bien connue, par un voyageur tributaire de ses seules deux jambes : fraîcheur ou canicule, ardeur ou fatigue, douleur ou bien-être, chaque élément est restitué à l'état brut... et puis, comment ne pas s'étonner lorsque soudain la liberté la plus légère se métamorphose en une contrainte peu supportable ou encore, lorsque l'instant le plus volatile vous projette d'un coup d'aile à l'autre bout de l'existence... Partir en lâchant ses attaches, ne serait-ce qu'une « seconde » ... une alternative pour se créer des ancrages inoxydables dans un monde fébrile, d'une complexité inouïe, évoluant à une vitesse foudroyante.
Durée : 7h. 51min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 20170
Résumé:Sur fond de guerre mondiale et de révolution russe, ce roman s'inscrit dans un moment très précis de l'Histoire et de l'histoire de l'art, auxquelles il se veut fidèle. Ce n'en est pas moins une fiction, qui prend la forme du journal de John William Godward, peintre anglais néo-classique qui ne jure que par la beauté grecque. Apprenant la présence de Picasso à Rome, il l'épie, rêve d'arrêter sa main sacrilège, et qui sait, de le convertir à ce qu'il considère comme la beauté éternelle. Horrifié par une modernité qu'il ressent comme inhumaine et destructrice, Godward aurait dit : « Dans ce monde, il n'y a pas place à la fois pour Picasso et pour moi ». L'idée d'une rencontre le fascine et l'effraie. Histoire d'un duel.
Durée : 49min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 19552
Résumé:Les livres d'enfants ont fait connaître dans le monde entier ses animaux et ses splendeurs picturales. Ce film Plans-Fixes d'Etienne Delessert retrace sa conquête de la communication visuelle. Une émotion d'adolescent face aux affiches des rues de Lausanne suscite une éruption d'idée, de livres, de journaux. Projets, dessins et savoir-faire le portent à Paris et à New-York. Son apport au renouveau des arts visuels est vite reconnu. Sa collaboration avec des pionniers du graphisme, du théâtre ou de la psychologie, Lubalin, Ionesco ou Piaget autant qu'avec de jeunes créateurs proches, n'empêchent pas les milliers d'heures solitaires, crayon ou pinceau à la main, qui ont fait naître l'art de Delessert, visages et diables, plumages et paysages. Son message personnel nous saisit, incontournable, jailli d'une mise en page ou d'aquarelles intimes, d'un dessin de presse ou d'un conte fantastique.
Durée : 8h. 48min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 18831
Résumé:Grâce aux médias contemporains, le monde tout entier, à tout instant, nous est présent. Cela signifie-t-il que nous le connaissons mieux qu'auparavant ? Journalistes en tête, nombreux sont ceux qui craignent au contraire que l'information véritable ne survive pas à l'ère d'Internet. Les médias contemporains, c'est vrai, aggravent les défauts des médias de toujours : ils menacent de faire de nous des êtres irrationnels, sans mémoire, sans histoire, sans projet. Ils reflètent, donc intensifient toutes les contradictions d'une civilisation, la nôtre, qui condamne le progrès mais adore la technique informatique ; qui s'enthousiasme naïvement pour la révolution arabe, mais renie inconsciemment son propre humanisme. Les médias, qui devraient servir notre mémoire, servent souvent notre oubli. Mais rien n'est inéluctable. Nos moyens d'information, y compris Internet, sont et seront à notre image. Si nous gardons l'esprit critique, rien n'est perdu.
Durée : 1h. 8min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 18371
Résumé:L'anagramme consiste à mélanger les lettres d'un mot, d'une expression, en vue de former un autre mot, une autre expression. Elle opère comme une lecture secrète, ou un négatif qui éclaire ce qui restait dans l'ombre. Le résultat est parfois incroyablement malicieux. On cite souvent la folie dans la fiole, l'éternité d'une étreinte, soigneur donnant guérison. Mais qu'en est-il des grands noms de l'histoire et de la science ? Qu'est-ce qu'un Albert Einstein, un Léonard de Vinci ont à nous révéler ? Quelle loi discrète repose dans la chute des corps ? Les orbites célestes hébergent-elles de la vie ? En quoi consiste la réduction du paquet d'ondes en mécanique quantique ? Quelle sentence prémonitoire dans Marie-Antoinette d'Autriche ? Quelle malédiction hante L'Origine du monde de Gustave Courbet ? De quel mystérieux ingrédient est faite La madeleine de Proust ?
Lu par : Brigitte Cottens
Durée : 2h. 58min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 17908
Résumé:Au cours d'un festival d'été, dans le sud de la France, une jeune pianiste chinoise joue Scarlatti, Brahms et Chopin. Subjugué, un critique musical salue en elle la plus grande pianiste d'aujourd'hui. Un autre critique, ironique et distant, dénonce chez la même pianiste un jeu sans âme, fait d'artifice et d'imitation. Les deux journalistes se disputent à grand renfort de blogs et de courriels. Ils se connaissent de longue date, et leur querelle esthétique se double d'un conflit plus intime. Choc des egos plutôt que de civilisations ?
Lu par : Sylviane Tastavi
Durée : 4h. 1min.
Genre littéraire : Psychologie/médecine
Numéro du livre : 17922
Résumé:L'auteur de ces récits lance chaque soir aux auditeurs de La Première, depuis presque dix ans : Amis du coeur et de l'esprit, bonsoir !. Aujourd'hui, l'animateur de la Ligne de coeur vous lance : Amis de la fiction, bonjour !. De son propre aveu, les trains ont toujours stimulé ses envies d'écritures : Ce sont des parenthèses dans le temps, l'espace et l'action qui m'ont toujours conduit à imaginer des êtres et des mondes décalés.
Lu par : Michèle Quellet
Durée : 6h. 44min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 17827
Résumé:Une nuit, comme mon adjoint Rodriguez était allé rejoindre une dame, je me suis posté à la réception-bar du garage, où un ordinateur clignotait, et me suis mis à écrire une histoire, comme ça, pour voir ce que ça faisait, un oeil sur les Lamborghini et autres babioles exposées. Au retour du cavaleur, peu après l'aube, j'avais les douze premières pages de Lu Chute à l'envers. Je me sentais bien. Cela faisait un moment que cette histoire me mijotait clans le fond de la tête, et que d'autre part j'épluchais les tourniquets à bouquins du supermarché voisin. Une maison d'édition nommée Weekend, en particulier, présentait une ribambelle de petits volumes souples, aux couvertures pimpantes, deux cents pages aérées, qu'un public divers jetait souvent par deux ou trois dans son caddie, parmi les légumes et les boîtes. Les titres se renouvelaient sans cesse. Il fallait bien des gens pour les écrire, qui évidemment n'étaient pas des écrivains : des amateurs, des débutants, des refusés, des modestes, enfin des gens, quoi, pareils à mes Aînés qui mouillaient vaillamment leur kimono pour obtenir la ceinture jaune. Nom de Dieu, alors pourquoi pas moi ?
Lu par : Gilbert Etienne
Durée : 1h. 53min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 17434
Résumé:
Lu par : Collectif BSR
Durée : 5h. 16min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 17515
Résumé:La pêche, un art de l'impatience ? Pour la plupart, la pêche rime avec patience, passivité, ennui. C'est l'éternelle caricature du pêcheur en papi affalé devant sa canne, les yeux rivés à son flotteur qui ne coule jamais. Or, à lire les récits ou regarder les photos de Jacques-Etienne Bovard, qui rôde depuis son enfance le long des rivières et des lacs, on verra que la pêche peut se décliner en inventaire émotionnel contrasté et intense : le temps devient affût passionné, au seuil d'un autre monde, où se confondent la mémoire et le rêve. La rivière se livre, ou ne se livre pas, telle une femme irrésistible et insaisissable. Quel ennui ? Quelle patience ? Le pêcheur rôde, ruse, rêve, délire, jubile, explose - de joie, de fureur.
Lu par : Gilbert Etienne
Durée : 1h. 2min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 17330
Résumé:
Lu par : Brigitte Cottens
Durée : 6h. 10min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 17552
Résumé:Musique, poésie, beauté d'une femme, recherche de la vérité..., la plupart des héros de ces nouvelles sont travaillés par un idéal qui peut les mener à tuer pour une fausse note comme à sublimer un amour.
Lu par : Martine Moinat
Durée : 3h. 46min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 17256
Résumé:Dans un hôtel du Lido, près de Venise, le narrateur (orphelin) échoué là avec son grand-père qu'il appelle Père, tombe follement amoureux. Un amour éperdu et double. Pour Anne, pensionnaire dans son hôtel, et pour Anna, hôte d'un palace proche. L'une de son âge, l'autre pourrait être sa mère. Ce décor n'est pas loin d'un film de Claude Chabrol. ... Anne l'attire par ses regards sournois, ses vols effectués quasiment sous ses yeux, sa souplesse et les rapports hargneux qu'elle entretient avec ses parents. Anna par sa beauté et la manière somptueuse de suggérer une vie de souffrance. Anna est entretenue par un homme fortuné.
Durée : 6h. 12min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 16885
Résumé:Mystère d'une vie de solitaire. Borromini est «un enfant de Saturne», un mélancolique, un homme renfermé. Certains le croient homosexuel. On ne lui connaît ni maîtresses, ni femmes, ni enfants. Sa solitude a quelque chose de dépressif, elle frise la paranoïa. L'artiste vit dans l'angoisse d'être pillé. Normal, il est conscient de sa valeur, son oeuvre a de l'éclat. Il brille très tôt, à l'âge de 9 ans, déjà! Le petit bonhomme vient de quitter son Tessin natal. A Milan où il s'installe, il suit un apprentissage dans une école rattachée à «la fabrique du Dôme». Là, chez les grands, Francesco fait preuve d'indépendance d'esprit, d'inventivité. Il est doué, c'est dans ses gènes. «Le Tessin a toujours été un pays de constructeurs et d'architectes, qui firent les beaux jours de l'Italie mais aussi de bien d'autres pays européens, sans compter la Russie», écrit Etienne Barilier.